A partir de septembre 2016 : directeur du Master Journalisme, culture et communication scientifiques.
En 2015 : année de congés sans soldes (j’en profite pour publier, pour suivre des séminaires à Paris, pour communiquer dans des séminaires, etc.)
De 2012 à 2014 : Directeur du Département des Sciences de l’information et de la communication de l’université de La Réunion. Je gérais alors une équipe de 5 enseignants-chercheurs, 2 PAST, et une quinzaine d’intervenants professionnels (CEV). Nos enseignements débutaient par une mineure en L2, puis se poursuivaient par une Licence 3 « suspendue », et un Master qui comportait un parcours recherche et deux parcours professionnalisants (métiers du journalisme ; métiers de la communication).
Dans ce cursus, outre les enseignements présentés plus bas, je participe aux jurys de stage des étudiants des parcours de masters pro avec les PAST et avec les CEV, ainsi qu’à tous les jurys du parcours recherche que je dirige. Dans l’ensemble de ce parcours, j’ai organisé chaque année depuis 2011 une journée de séminaire commun aux étudiants en recherche et en parcours pro, destinée à leur présenter les débouchés professionnels de la recherche en dehors de l’université (postes de consultants, dans des associations, etc.), en faisant intervenir des professionnels de la recherche travaillant en dehors de l’université, dans les métiers du social, de la culture et du patrimoine.
À partir de 2012, j’ai inséré dans ces parcours une troisième entrée : médiations des savoirs, de la nature et des cultures. Je suis en effet régulièrement sollicité par des collectivités territoriales, ou par des partenaires du secteur privé ou associatif, pour des stages de recherche sur ces thèmes, avec parfois des budgets pour rémunérer des étudiants, alors que ces partenaires n’arrivent pas à trouver d’étudiants formés à l’enquête. Des enseignements en muséographie et en histoire du patrimoine sont assurés par des professionnels du domaine. Les contraintes budgétaires de l’université de La Réunion, et les fortes réticences à l’égard de toute approche interdisciplinaire n’ont pas permis à ce projet de se développer au-delà du précédent quadriennal.
En tant que directeur de département, j’ai participé au processus d’évaluation et d’accréditation des licences et masters de la Faculté des Lettres et Sciences humaines destiné à l’AERES. J’ai été nommé référent master pour la réalisation de l’auto-bilan de la FLSH.
De 2001 à 2010 : Responsable des enseignements en sciences de l’information et de la communication de l’ENS de Lyon depuis 2001.
À l’ENS, le niveau Licence n’existe pas. C’est pourquoi, ne figurent dans ce CV que des activités d’administration correspondant aux niveaux Master 1 et Master 2. Par ailleurs, les cursus d’une grande école sont généralement liés à des cohabilitations avec des universités. Il a fallu initier et construire, puis renouveler les habilitations de ces cursus avec des collègues universitaires, soit en info-com, soit dans d’autres disciplines.
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